L’Ufolep organise pour la 3e édition, Les journées fédérales Ufolep du Pradet du 20 au 22 octobre 2023 dans le cadre du centre de vacances de la Ligue de l'enseignement de La Bayette, au Pradet dans le Var. Il s’agit d’un évènement national de rentrée Ufolep pour son réseau d’élu.e.s, de professionnel.le.s et pour les référent.e.s. des Commissions nationales sportives sous l’égide de la campagne Ufolep 2023 – 2024 Tous Egaux.
Le leitmotiv de ces 3 jours de regroupement sera le projet politique de la mandature avec un focus sur la thématique de l’engagement, du bénévolat et du militantisme dans la perspective du renouvellement des forces vives à la tête des commissions nationales sportives de la fédération et des équipes élu.e.s à échéance d’avril 2024 qu’il s’agisse des élections au niveau des comités départementaux ou de l’échelon national lors de l’Assemblée générale qui aura lieu à Lille.
C’est donc un temps d’échange et de partage fédérale à destination des partis-prenantes de la fédération qui débutera le 20 octobre à 17h30 par une conférence inaugurale sur la thématique de l’engagement avec les interventions de :
Des ateliers poursuivront la démarche afin d’élaborer conjointement la mise en œuvre effective et le déploiement des dispositifs fédéraux sur les territoires.
A cet effet deux parcours spécifiques sont proposés selon les profils de participant.e.s dans le contexte de la thématique de la Grande cause nationale 2024 avec la promotion de l'activité physique et sportive (GCN2024) et des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Les séquences proposées aborderont les sujets :
Se succéderont ensuite différents activations collaboratives et artistiques comme celle proposée avec l’artiste Mathilde Guégan et son concept éco responsable d’Art cycling. Un autre atelier sera dédié au projet d’Histoires de Sports et de nature, également l’occasion pour les participant.e.s de contribuer à la collection de photos et d’archives sport & nature pour témoigner des changements environnementaux.
Pour celles et ceux qui le connaissent, le cadre du Pradet dans le Var est idéal, à la fois pour y travailler mais aussi pour y passer d’excellents moments conviviaux et festifs. A très vite !
A l’occasion de la fête de la science 2023, dont le thème sera « Science et Sport » pour la dernière édition avant les Jeux Olympiques et Paralympiques deParis 2024 et dans l’optique de l’Héritage, l’Ufolep associée au laboratoire Mosaic du Muséum d’Histoire Naturelle, animera un stand et des ateliers à destination des écoles et du grand public sur le projet européen Histoire de Sport et de Nature soutenu par le ministère de la Transition écologique et de l’Enseignement supérieur. Ainsi tout au long du week-end, le grand public, les familles, les élèves, seront invités à illustrer les évolutions ou transformations de la nature à travers leurs pratiques sportives en partageant leurs archives qui peuvent se matérialiser sous la forme de document, de photos ou d’objets : véritables trésors témoins de ces changements et passerelle entre les âges.
Pour rappel la fête de la science se déroule du 6 au 16 octobre 2023 en métropole, et du 10 au 27 novembre 2023 en outre-mer avec un week-end phare de mise en lumière du 6 au 8 octobre. Elle rassemble les centres de culture scientifique, les musées, les organismes de recherche et les laboratoires sur tous les territoires.
La fête de la science est une initiative initiée par Hubert Curien en 1992. Ministre de la Recherche et de l'Espace à l’époque, il souhaite une rencontre populaire et accessible entre scientifiques et grand public pour témoigner des avancées scientifiques et ainsi démocratiser la connaissance. L’idée lancée, la fête va s’entériner et se déployer ensuite tous les ans à l’automne sous la forme de multiples manifestations culturelles avec des animations et ateliers gratuits dont les sujets portent sur l’astronomie, la chimie, la physique, les mathématiques et la météorologie.
Si vous êtes intéressés par l’aventure de cette collection participative, rendez-vous sur le site https://www.fetedelascience.fr/
La semaine du 18 au 22 septembre, a été marquée par la tenue des 5 premiers groupes de travail Sport Société Ufolep sur les 10 prévus jusqu’au 29 septembre. Une première salve organisée en ce début de saison sportive qui a rassemblé plus de 150 participant.e. issu.e.s des comités départementaux/régionaux et des associations Ufolep (Métropole et Outre-Mer).
Allant des thématiques des Cités éducatives, à l’Engagement, aux Primo arrivants, à la Protection Judiciaire de la Jeunesse, à la Formation Professionnelle et aux Parcours coordonné ….les élu.e.s nationaux référents avec Brigitte Clochet, élue nationale en charge de la vie associative et de l’engagement, Elisabeth Delamoye, Secrétaire générale et élue nationale, Arnaud Jean, Président de l’UFOLEP et Henri Quatrefages, Vice-Président en charge du Pôle Sport Société, ont contextualisé et présenté les enjeux de ces axes de travail inscrits dans le Projet Sportif Fédéral Ufolep pour la mandature 2021 - 2024.
Au programme, des ateliers sources d’échanges, de connaissances, de partage de bonnes pratiques et de témoignages entre collaborateur.rice.s pour relever les besoins, dessiner les perspectives et déterminer les objectifs de travail matérialisés par un plan actions territorial et fédéral.
Qu’il s’agisse de militantisme pour renouveler les espaces de gouvernance, d’employabilité, de parcours d’insertion sociale et professionnelle, de formation des éducateur.rice.s, ou encore d’insertion et d’inclusion en actes, les notions clés ont été traités tout au long de la semaine sous un format interactif et collaboratif.
La tenue des Groupes de travail Sport Société sont prisés par les partenaires de l’Ufolep qui interviennent et soutiennent à ces occasions les différents dispositifs. A noter les présences à cet effet, en fonction des thèmes abordés, de : Jean-Philippe Asenci, président de l’Agence pour l’Education par le sport (APELS), Philippe Cenard, responsable formation au centre national de l’inclusion par le sport (CNIS), Florence Kavita, Directrice de l’Association nationale de la performance sociale du sport et du ministère de l’Intérieur et des Outre-mer et de l’Office Français de l’Immigration et de l’intégration – OFII France.
Plus d’infos www.ufolep.org
Revue bimestrielle papier et digitale, EnJeu, une autre idée du sport est la revue fédérale Ufolep.
Son dernier numéro vient de paraître avec un dossier spécial à propos des défis du sport dans les territoires d’outre-mer avec notamment, le témoignage de Naoilou Yahaya, Présidente de l’Ufolep Mayotte et Serge Barru, Président de l’Ufolep des îles-de-Guadeloupe.
Au sommaire de ce 58è numéro vous trouverez dans la rubrique Invité : l’interview de Régis Juanico, député honoraire reconverti dans le conseil auprès des collectivités, entreprises et acteurs du sport qui témoigne de l’augmentation de la sédentarité via son ouvrage “Bougeons !”
A noter également à l’occasion de ce numéro d’octobre :
Vous trouverez enfin dans ce numéro des portraits, de bonnes pratiques et des « conseils lectures » comme « Penser le sport », par Benjamin Pichery et François L’Yvonnet aux éditions Amphora, reprenant le principe des entretiens filmés de l’Insep, ou « Sport pour les jeunes sous-main de justice », de l’INS-HEA aux éditions EP & S.
Bonne lecture !
L’Ufolep poursuit sa transition numérique et se dote d’une nouvelle plateforme de gestion des formations. Depuis la rentrée, chacun peut y accéder via son compte personnel, dont par ailleurs la création est simplifiée : le numéro de licence permet de générer ses identifiants, de choisir son mot de passe et d’accéder au catalogue des formations fédérales. Il suffit alors de s’inscrire à l’une des sessions proposées par les comités Ufolep (brevet fédéral d’activité, tronc commun, PSC1, etc.) et de payer en ligne. Ce compte garde trace du parcours de formation et des diplômes obtenus. Il est également possible d’intégrer un diplôme fédéral antérieur, sur demande, en fournissant pièces et justificatifs à son comité départemental.
De leur côté, les associations ont leur propre accès « structure ». Il permet de gérer les différents droits accordés à leurs membres gestionnaires, d’inscrire leurs adhérents et de suivre leur parcours de manière optimisée.
Rappelons que, chaque année, plus de 200 stages de formation dans de nombreuses disciplines sportives et près de 2500 sessions PSC1 (premiers secours) sont organisés au sein de l’Ufolep.
Marion Mauduit
Associations Ufolep, Hexopée est à votre service pour tout conseil en matière d’emploi et de formation professionnelle.
Hexopée est l’organisation professionnelle représentative des champs conventionnels Éclat (Éducation, Culture, Loisir, Animation au service des Territoires), HLA (Habitat et Logement Accompagnés), TSF (Tourisme Social et Familial) et de la branche du Sport. Dans le cadre d’une convention de partenariat, les structures affiliées à l’Ufolep appliquant la convention collective du sport bénéficient ainsi de l’ensemble des services d’Hexopée. Il s’agit de conseils dans toutes les démarches liées à l’emploi et à la formation professionnelle. Hexopée aide aussi les associations à passer le cap du salariat en facilitant les démarches de primo employeur.
Pour en savoir plus, et si vous n’avez pas encore activé votre espace adhérent, contactez-nous au 01.41.79.59.59 ou par email : hexopee@hexopee.org
Vous pourrez ensuite nous poser vos questions juridiques via cet espace adhérent (en vous connectant avec votre adresse email et votre mot de passe) ou au même numéro de téléphone.
Vous trouverez par ailleurs dans votre espace adhérent :
• des modèles de contrats de travail, de courriers pour la gestion des relations contractuelles, d’accord d’entreprise ;
• des guides thématiques alliant des conseils juridiques et pratiques (ex : le guide de le formation professionnelle) ou encore des kits compilant des outils et modèles (ex : élections professionnelles, télétravail) ;
• des foires aux questions sur la gestion de la vie associative, sur le Comité social économique, sur le 100 % santé ;
• des articles juridiques traitant des relations de l’employeur avec les salariés, les institutions représentatives du personnel mais également avec les collaborateurs non-salariés ;
• les textes conventionnels (convention collective avec ou sans commentaires, les avenants signés dans votre branche) ;
• des webinaires d’actualité juridique chaque mois ;
• des conseils et des webinaires sur les sujets à fort enjeu pour la fonction RH.
Tous les mois, pour ne rien manquer, vous recevrez un courriel compilant les dernières actualités légales, réglementaires et jurisprudentielles. Il vous informera aussi des mises en ligne récentes et mises à jour importantes des ressources mises à votre disposition.
Enfin, notre organisme de formation, Adoes (Association pour le développement des organismes de l’économie sociale www.adoes.fr), propose des formations sur les cinq grandes thématiques de la fonction employeur que sont le droit social, les ressources humaines, le management, la gouvernance, la gestion d’association). Les prochaines sont organisées à Paris-Alfortville (94) :
Céline Pastot, pôle animation des réseaux
Si la pratique du sport en prison doit être renforcée, elle doit être également pensée et réalisée par des professionnels de l’activité physique adaptée à la prévention et à la réinsertion : c’est le parti pris de Sport pour les jeunes sous main de justice, petit ouvrage pratique coédité par l’INS-HEA, organisme dédié à l’école inclusive, et les éditions EP&S. S’appuyant sur une longue expérience au sein du quartier des mineurs de la maison d’arrêt de Nanterre (Hauts-de-Seine), il dégage des concepts traduits ensuite à travers des fiches de jeux moteurs qui ne manqueront pas d’éveiller l’intérêt des éducateurs sportifs Ufolep intervenant auprès de ce public.
« Penser le sport » : c’est le titre-programme de la collection lancée par le réalisateur et ex-prof d’EPS Benjamin Pichery et le philosophe François L’Yvonnet aux éditons Amphora. Ils y reprennent le principe d’entretiens filmés de l’Insep qui avaient trouvé un premier prolongement éditorial au Cherche-Midi sous la devise « Homo Ludens ».
Le point fort de cette nouvelle formule réside dans le découpage en courts chapitres qui facilitent la lecture et font ressortir les idées-forces. Les trois premiers à en bénéficier sont le sociologue Paul Yonnet, le géographe Jean-Pierre Augustin, aujourd’hui décédés, et l’anthropologue David Le Breton. On soulignera que, par le passé, tous trois ont tous été associés à des évènements de l’Ufolep : Paul Yonnet a participé au colloque « sport et religions » organisé pour le centenaire de la Loi de 1905 sur la séparation des églises et de l’État, Jean-Pierre Augustin à l’Université sportive de Bombannes et David Le Breton à l’Université européenne du sport de Strasbourg.
Intitulés Le loisir c’est du boulot !, les échanges avec Paul Yonnet constituent une parfaite introduction à ses pénétrantes Huit leçons sur le sport (Gallimard 2004). En géographe, Jean-Pierre Augustin pointe pour sa part L’emprise occidentale exercée jusqu’à présent sur le sport. Enfin, dans À corps perdu…, David Le Breton interroge la place du corps humain à la lumière d’avancées technologiques qui proposent d’en construire des versions « augmentées », tout en s’autorisant des digressions sur ses deux passions, la marche et le vélo. Ph.B.
Le loisir c’est du boulot !, Paul Yonnet, Sport, l’emprise occidentale, Jean-Pierre Augustin, À corps perdu…, David Le Breton,Amphora-Insep, 12,95 €.
De Marc Riboud (1923-2016), on garde dans l’œil Le Peintre de la tour Eiffel, qui en 1953 fut son ticket d’entrée à l’agence Magnum, ou La Jeune Fille à la fleur qui, en 1967 à Washington s’approche des baïonnettes d’une rangée de soldats lors d’un défilé contre la guerre du Vietnam : le résumé d’une œuvre marquée du double sceau de la poésie et de l’engagement pour la liberté. Mais Marc Riboud, dont le Musée des confluences de Lyon célèbre le centenaire de la naissance, appréciait aussi les activités physiques. En témoignent, parmi une sélection de 100 images tirée de ses nombreux voyages, ces Rameurs ghanéens qui « devaient franchir une "barre" dangereuse avant de trouver leur poissons », ou le Plongeur de Dubrovnik choisi pour l’affiche de l’exposition.
Après avoir repris pied avec une activité physique encadrée par l’Ufolep pour le CIDFF, Françoise Le Texier a rejoint l’équipe d’élus des Côtes-d’Armor.
« Quand je me suis rapprochée du Centre d’information sur les droits des femmes et des familles (CIDFF) de Saint-Brieuc, j’ai appris qu’il était possible d’être suivie par une psychologue. Dès le deuxième rendez-vous, elle m’a parlé d’activité sportive, quelque chose qui était en train de se monter. Je lui ai fait part de mon intérêt et, dès la première séance, j’ai beaucoup apprécié la façon d’animer et le côté très professionnel des éducateurs sportifs. Je suis devenue assidue à ce créneau de deux heures du jeudi où nous étions une dizaine de femmes à nous retrouver. Les intervenants pouvaient varier et Gwenaël, le délégué départemental, ou Manon, son adjointe, faisaient le lien. »
Sports co. « Ce n’était pas du fitness mais des sports collectifs, avec un côté découverte. Cela faisait un moment que je n’avais plus d’activité sportive. Il y avait quelques années, j’ai suivi un cours de fitness pendant deux ans, avant d’arrêter quand c’est devenu du Pilates, que je n’aime pas. En remontant plus loin, dans les années 2000 j’ai aussi fait dix ans d’aquagym avec l’ASBD, l’Association briochine sport et détente. D’ailleurs, pour l’anecdote, j’ai retrouvé ma professeure, aujourd’hui en retraite, à l’AG départementale Ufolep. Car l’association est affiliée à la fédération, ce que j’ignorais à l’époque ! »
Emploi. « Le retour à l’emploi n’est pas d’actualité pour moi en raison de ma situation un peu particulière. Attachée à la fonction publique, j’ai été déclarée inapte à mon poste, malgré mes démarches pour une reconnaissance de maladie professionnelle. Il me faudrait donc démissionner ou rebondir sur un autre métier : en fin de carrière, cela demanderait énormément d’énergie. J’étais devenue ingénieur, en charge des bâtiments d’une commune limitrophe de Saint-Brieuc, après avoir suivi des formations et appris de mes diverses fonctions, moi qui avais débuté derrière une planche à dessin. »
Engagement. « La pratique sportive avec l’Ufolep m’a donné les moyens de me sortir de toutes les choses négatives que je traversais. J’ai retrouvé goût à la vie. Mais après je n’ai pas repris d’activité : au-delà de l’aspect financier, je n’étais pas non plus sûre de retrouver le même accompagnement. Alors je fais de la marche à pied. En revanche, comme j’avais sympathisé avec les éducateurs sportifs et Gwenaël et Manon [respectivement directeur départemental et agent de développement], ceux-ci m’ont proposé d’intégrer le comité directeur départemental1. J’ai dit oui : je veux bien donner un coup de main. J’ai ainsi participé comme bénévole à des actions à Saint Brieuc ou Loudéac, et tout récemment à l’étape du Playa Tour de Perros-Guirec. »
Comité. « Lors des réunions du comité directeur, pour l’instant j’écoute et je vais dans le sens de la majorité pour ce qui touche à la stratégie de développement. J’apprends comment fonctionne l’association. Je pourrais à l’occasion apporter mes connaissances dans la conformité d’une salle de sport : structure, sécurité, évacuation... Et surtout évoquer les biens faits du sport dans la remise en forme physique et psychique. Cela m’a apporté une nouvelle habitude de vie, et des contacts humains qui se prolongent aujourd’hui d’une autre façon. » Ph.B.
(1) Une autre bénéficiaire, Marie-Hélène Bellan, a elle aussi intégré le comité Ufolep des Côtes-d’Armor.
Objectif insertion sociale et professionnelle
Le projet mené avec le Centre d’information des droits des femmes et des familles de Saint-Brieuc a débuté en novembre 2020, dans le cadre du dispositif Toutes Sportives et du partenariat national avec la FNCIDFF. Ce créneau de deux heures d’activités physiques et sportives est proposé par l’Ufolep en gymnase ou en extérieur selon la saison, en alternance avec un atelier d’insertion professionnelle animé par le CIDFF. S’y ajoutent ponctuellement des formations aux premiers secours et des rencontres avec des employeurs potentiels où les participantes animent elles-mêmes des ateliers sportifs, avant un temps d’échange où structures et entreprises présentent leur activité et les postes à pourvoir.
L’accompagnement est conçu sur un an, avec toutefois un turn-over important entre les stages ou contrats à durée déterminée décrochés par les participantes. Sur les deux premières années, le projet a touché 25 femmes et a été étendu l’an passé à la ville de Loudéac, en Centre-Bretagne, où pas moins de 6 des 8 participantes ont trouvé un emploi, au moins temporairement : aide à domicile, assistante territoriale des écoles maternelles (Atsem) ou aide-soignante en milieu hospitalier (ASH). Les profils des bénéficiaires sont assez variés : nous avons même eu au printemps une titulaire d’un master en anthropologie qui s’est ensuite engagée dans une démarche d’auto-entreprenariat !
Manon Hidrio, agent de développement à l’Ufolep 22
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