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Projet ANS : Rendre l’activité physique accessible aux plus précaires

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Exemple d’un projet d’une association Ufolep soutenu financièrement par l’Agence nationale du sport (ANS) en appui du Projet sportif fédéral.

 

Intitulé : Solidar’Sport, l’intégration par les APS… une porte vers de nouvelles adhésions

Association : CAP’Sport, « collectif d’actions de proximité par le biais du sport », Hérouville-Saint-Clair (Calvados)

Subvention accordée : 7 000 €

Objectifs : Rendre accessible l’activité physique et sportive aux publics précaires : résidents de centre d’accueil et d’hébergement, demandeurs d’asile, personnes sans domicile fixe et en remobilisation sociale et professionnelle. L’adhésion à l’Ufolep (à laquelle l’association est affiliée depuis sa création en 2012) est envisagée comme une démarche d’inclusion sociale.

Description : En collaboration avec les équipes socio-éducatives, CAP’Sport anime des actions de proximité autour des valeurs du sport (respect, fair-play, vivre ensemble) et de ses bienfaits : séances hebdomadaires, rassemblements et évènementiels. L’action Solidar’Sport a proposé des créneaux hebdomadaires tout l’année (sauf juillet-août) sur plusieurs sites : futsal et multiactivité à Caen, football à Colombelles, activités de la forme avec suivi individualisé à Hérouville-Saint-Clair, multiactivité et renforcement musculaire à Lisieux. S’y sont ajoutées des séances découverte et des évènementiels favorisant la mixité des publics.

Réalisation : « Nos actions ont touché plus d’une centaine de personnes, principalement isolées et éloignées de l’emploi. En décembre, tous les jeudis soir des séances ont également réuni à Démouville, près de Caen, nos adhérents, les résidents d’un institut médico-éducatif et un public extérieur pour des tournois de futsal, tennis de table, hand, basket. Quand l’épidémie empêchait la pratique en salle, nous avons maintenu le lien avec des séances de remise en forme via les réseaux sociaux et repris ensuite avec de la marche et de la multi-activité en extérieur. Ce contexte a aussi accéléré notre réflexion sur la façon d’aborder nos publics, ce que résume le concept "les bienfaits du sport bien fait" : faire appel à des éducateurs socio-sportifs qui prennent en compte l’environnement global de la personne et l’accompagnent avant et après l’activité », explique Justine Daulle, coordinatrice du projet.


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